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Publié le jeudi 10 avril 2014 21:40

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1. 
   Le Secrétariat de l’École affiche les communications d’intérêt général aux valves : congés, invitations, décès, maladies, accidents, visites, faire-part...
2. Le Directeur adjoint affiche les modifications de l’horaire ou du calendrier des cours.
3. Toute autre personne qui désire faire une communication aux valves doit la soumettre au Secrétaire général, qui y apposera son cachet.
4. Les rapports et comptes rendus des réunions du Comité des étudiants et de ses rencontres avec le Bureau du Directeur seront affichés aux valves.

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Publié le jeudi 10 avril 2014 21:22

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FONCTIONNEMENT DE L’ÉCOLE THÉOLOGIQUE

 Les programmes et l’exécution des activités d’enseignement, d’étude et de recherche sont exclusivement de la compétence des organes prévus par le Règlement intérieur de l’École.

Le Conseil d’Administration a une fonction de conseil et de contrôle ; il veillera surtout à ce que les programmes s’accor­dent avec les directives de l’Église et les orientations définies par l’Assemblée générale.

La gestion financière et celle du personnel reviennent de droit au seul Conseil d’Administration. Elles sont assurées dans les formes que ce Conseil retiendra comme les plus opportunes.

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Publié le jeudi 10 avril 2014 21:23

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HISTORIQUE DE L’ECOLE

1. ORIGINES ET LE NOM

Le Séminaire Théologique Saint-Cyprien ouvrit ses portes, le 1^er octobre 1979, à cinq scolastiques cicm venus de Kinshasa (Zaïre).  Par «Séminaire Théologique Saint-Cyprien», on entendait alors le complexe comprenant la communauté de formation cicm et l’établissement scolaire.  Fondé par la Congrégation du Cœur Immaculé de Marie (Missionnaires de Scheut) pour la formation de ses membres, le Séminaire Théologique Saint-Cyprien accueillit, dès la rentrée 1980, des religieux membres d’autres Congrégations ou Instituts. Concernant le corps professoral, il convient de noter que, dès le début, il y avait déjà des non cicm qui fonctionnaient comme professeurs vacataires.

Par ailleurs, il n’est pas inutile de rappeler que le Séminaire Théologique Saint-Cyprien entendait être une Institution pour la formation de jeunes religieux clercs missionnaires.

A la fin de l’année académique 1981-1982, lorsque les premiers finalistes terminaient le cursus institutionnel, le Séminaire Théologique Saint- Cyprien pouvait se réjouir d’avoir accueilli 32 étudiants.  Au cours de l’année 1982, le Séminaire Théologique Saint-Cyprien connut une profonde métamorphose: réuni au Mont-Fébé du 12 au 17 avril 1982, le Comité restreint de la Région cicm d’Afrique et la Commission régionale pour la Formation initiale cicm décidèrent de séparer l’établissement scolaire de la communauté de formation.  A partir de ce moment, l’établissement scolaire fut appelé Ecole Théologique Saint-Cyprien.

2. CONSORTIUM

Le changement fut bénéfique pour l’Ecole. Il lui permit, à long terme, de s’ouvrir sans difficulté à l’idée d’un éventuel «Consortium». L’Ecole Théologique Saint-Cyprien attira un nombre croissant d’étudiants religieux clercs, en attendant d’accueillir des religieuses ou des candidats religieux comme étudiants libres.  Cependant, le Conseil général cicm estima le moment venu de lancer l’idée d’un «Consortium» qui permettrait à plusieurs Congrégations ou Instituts missionnaires de prendre solidairement en charge la responsabilité de l’Ecole, tant au niveau financier qu’à celui des cadres administratifs et enseignants.

Après de nombreuses consultations d’experts et des instances généralices de quelques Instituts missionnaires au Cameroun, les Missionnaires du Cœur Immaculé de Marie, les Missionnaires du Sacré-Cœur et les Prêtres du Sacré-Cœur décidèrent de constituer un Consortium, avec l’espoir que d’autres Instituts missionnaires se joignent à eux.

Le 26 juin 1985, l’Ecole Théologique Saint-Cyprien devint l’Ecole Théologique Inter-instituts Saint-Cyprien.

De nouveaux Statuts furent adoptés pour un an seulement.  L’année 1986 fut mise à profit pour en arriver à des Statuts définitifs, acceptables par le droit canonique et par le droit civil camerounais.  Le 26 décembre 1986, une Assemblée générale constitutive érigea l’Association de l’École Saint-Cyprien et en approuva les Statuts¹. L’École Théologique Inter-Instituts Saint Cyprien redevint École Théologique Saint-Cyprien.

Enfin, par son décret N° 20/87/95, Mgr Jean ZOA, Archevêque de Yaoundé, érigea l’Association de l’Ecole Saint-Cyprien en personne juridique privée. De ce fait, l’École Théologique Saint-Cyprien fut reconnue comme l’œuvre de l’Association dont elle porte le nom.

Notons qu’aux trois Instituts «fondateurs» se sont joints sept autres Instituts : les Missionnaires Fils du Cœur Immaculé de Marie (cmf) les Missionnaires Xavériens (sx), les Missionnaires des Saints-Apôtres (msa), la Société de l’apostolat catholique (sac), les Piaristes (sch. p.), les Spiritains (cssp) et les Salésiens (sdb).

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Publié le jeudi 10 avril 2014 21:20

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But et mission

 L’École Théologique Saint-Cyprien est régie par les Statuts de l’A.E.S.C. (Association de l’École Saint Cyprien). Ce Règlement explicite les compétences des différents organes de l’École.

 Cette École, située à Ngoya, a pour objectif principal et immédiat d’assurer, en vue du ministère presbytéral, le cursus institutionnel théologique pour les jeunes religieux des Instituts membres de l’As­sociation.

En plus, l’École

a)    assure la formation théologique d’autres candidats aux minis­tères ;

b)   prête son concours à toute initiative concernant la formation théologique de religieux, de religieuses et de laïcs ;

c)    collabore à la réflexion théologique des diocèses du Came­roun et des Églises en Afrique.

Le but de l’Association de l’École Saint-Cyprien est d’assurer la gestion directe et complète de l’École Théologique Saint-Cyprien.

La gestion directe et complète de l’École comporte le devoir d’organiser, de diriger et de gérer tout ce qui concourt à la réalisation de son objectif, notamment en ce qui concerne :

a)    la qualité des cours et de l’enseignement ;

b)   la planification d’un personnel qualifié, tant enseignant qu’ad­ministratif ;

c)    la prévision et l’administration des moyens financiers nécessaires.